Nazisme: Le camp de concentration de Treblinka (2ième guerre mondiale)
8.1. District de Varsovie
La grande découverte du romantisme, c'est la nature dans son immensité et dans sa vérité. Le paysage devient effusion sensible : peintres, poètes, musiciens aiment et chantent une nature tourmentée, violente, à la mesure de Dieu et non plus des hommes, où les orages « désirés », les coups de lumière créent un climat inquiétant, qu'on aime retrouver dans les précurseurs hollandais Rembrandt, Ruysdaël ou Van Goyen.
A l'époque néo-classique, il y a encore des artistes qu'on peut dire « européens » : des artistes français, Percier et Fontaine, des sculpteurs, l'Italien Canova, le Danois Thorvaldsen… mais à partir de 1830, la recherche de l'originalité et de l'individualisme domine. Si Goya, ce précurseur, est mort en 1828, Delacroix dresse la « Liberté sur les barricades » en 1830, et Victor Hugo (« Préface aux poèmes de Ch. Dovalle ») déclare : « Le romantisme... n'est à tout prendre... que le libéralisme en littérature... La liberté dans l'art, la liberté dans la société... voilà la double bannière qui rallie... toute la jeunesse... d'aujourd'hui. »
| Antonio Canova : autoportrait. 1792 |
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| Carl Joseph Begas: Bertel Thorvaldsen. Vers 1820. Huile sur bois, 47 × 37 cm. Saint-Pétersbourg, musée de l’Ermitage |
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| Victor Hugo |
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