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Les apports « Barbares » et l’art préroman

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1. De Rome à l’empire carolingien

Histoire
Gaule : l’art mérovingien
Italie : l’art lombard
Espagne wisigothe
Les Asturies : entre l’art wisigoth et l’art roman

1.2. Gaule : l’art mérovingien

L'avènement de la dynastie mérovingienne en Gaule (Vè) entraîne des changements importants dans le domaine des arts. L'architecture ne traduit plus le désir de construire des édifices robustes et harmonieux, mais s’inspire des réminiscences des basiliques romaines. La sculpture régresse au point de n'être plus qu'une simple technique d'ornementation de sarcophages, de tables d'autel ou de mobilier ecclésiastique.

Objets mérovingiens de bronze : épingle à tête ajourée portant une nacre, bronze argenté (6,7cm) ; plaque triangulaire à décor animalier, VIIè ; plaque à profil mouvementé et décor d’entrelacs de monstres, VIIè ; plaque à décor de masque humain peu élaboré, fin du VIè ; ardillon de boucle, VIIè ; bague ; pince à épiler. Paris, Musée Carnavalet
Objets mérovingiens de bronze : épingle à tête ajourée portant une nacre, bronze argenté (6,7cm) ; plaque triangulaire à décor animalier, VIIè ; plaque à profil mouvementé et décor d'entrelacs de monstres, VIIè ; plaque à décor de masque humain peu élaboré, fin du VIè ; ardillon de boucle, VIIè ; bague ; pince à épiler. Paris, Musée Carnavalet
Trésor de Limons (Puy-de-Dôme) : applique ornée d’un chrisme, d’un masque humain et de motifs zoomorphes. Or, fonte à cire perdue. Fin VIe-début VIIè
Trésor de Limons (Puy-de-Dôme) : applique ornée d'un chrisme, d'un masque humain et de motifs zoomorphes. Or, fonte à cire perdue. Fin VIe-début VIIè
Plaque - boucle monochrome trouvée à Oyes (Marne). Vers 670. Fer et argent damasquiné. Saint Germain en Laye, musée des Antiquités nationales
Plaque - boucle monochrome trouvée à Oyes (Marne). Vers 670. Fer et argent damasquiné. Saint Germain en Laye, musée des Antiquités nationales

Par contre, l'essor de l'orfèvrerie et de la peinture sur manuscrit entraîne une résurgence des éléments celtiques de décoration, qui, malgré les apports chrétiens et barbares, constituent le fond véritable de la création artistique mérovingienne.

Fibule en forme d’aigle. Cloisonné. Vers 550. Nuremberg, Bibliothèque nationale
Fibule en forme d’aigle. Cloisonné. Vers 550. Nuremberg, Bibliothèque nationale
Fibules mérovingiennes. Paris, Bibliothèque nationale de France, Cabinet des médailles
Fibules mérovingiennes. Paris, Bibliothèque nationale de France, Cabinet des médailles
Fibule mérovingienne provenant d’Avioth en Meuse. Platine de bronze, tôle d’or décoré de fils perlés. VIIè. Saint Germain en Laye, musée des Antiquités nationales
Fibule mérovingienne provenant d’Avioth en Meuse. Platine de bronze, tôle d'or décoré de fils perlés. VIIè. Saint Germain en Laye, musée des Antiquités nationales

1.2.1. L’architecture

1.2.1.1. Eglises

Les églises, pratiquement toutes disparues comportent une charpente en bois, et sont de trois types :

  • Un premier type constitue les églises formant un « groupe épiscopal », composé en général de deux églises et d'un baptistère indépendant, construits en parallèle les uns par rapport aux autres : ainsi Fréjus, Avignon, Nîmes, Vienne (Saint Pierre), Auxerre, Sens, Genève, Trèves…
  • Vienne : l’abbatiale saint Pierre remonte au Vè siècle. Le clocher-porche date du XIIè siècle, de même que les grandes arcades qui divisent la nef en trois
    Vienne : l’abbatiale saint Pierre remonte au Vè siècle. Le clocher-porche date du XIIè siècle, de même que les grandes arcades qui divisent la nef en trois
    Auxerre, saint Germain : la crypte
    Auxerre, saint Germain : la crypte
    Fréjus : la cathédrale saint Léonce, précédée du massif du baptistère
    Fréjus : la cathédrale saint Léonce, précédée du massif du baptistère
  • Le second groupe est celui des églises monastiques : aux VIIè et VIIIè siècles il y a quelque 200 monastères en Gaule, surtout dans le Nord et l'Est. Chaque abbaye ou monastère possède au moins deux églises.
  • Metz : l’Eglise saint Pierre aux Nonnains. Vestiges de la façade et du narthex, avec petit appareil de pierre et chaînage de briques, IVè-Xè
    Metz : l’Eglise saint Pierre aux Nonnains. Vestiges de la façade et du narthex, avec petit appareil de pierre et chaînage de briques, IVè-Xè
    Metz : l’Eglise saint Pierre aux Nonnains. Vestiges de la façade et du narthex, avec petit appareil de pierre et chaînage de briques, IVè-Xè
    Metz : l’Eglise saint Pierre aux Nonnains. Vestiges de la façade et du narthex, avec petit appareil de pierre et chaînage de briques, IVè-Xè
  • Le troisième groupe est enfin représenté par les basiliques, grands lieux de pèlerinages, dont le plan offre beaucoup de variétés : une seul abside comme à Saint Bertrand de Comminges (Avant 450) ou aux Saints Apôtres de Vienne (Vè) ; trois absides (dès le VIè) comme la basilique d'Autun ou le chevet de Saint Pierre et Paul de Nantes (567) ; des absidioles voûtées comme à Saint Victor de Marseille ; de églises de plan cruciforme comme Sainte Croix et Saint Vincent de Paris (599) ou Notre Dame de Jumièges (vers 660) ou de plan rectangulaire orienté comme Jouarre (VIIème) et Sainte Reine d'Alise (720)…
Marseille, église saint Victor : la crypte
Marseille, église saint Victor : la crypte
Marseille, église saint Victor : la chapelle du Vè
Marseille, église saint Victor : la chapelle du Vè

Des très nombreuses cryptes seules subsistent celles de Saint Seurin de Bordeaux, de Saint Laurent de Grenoble, et de l'abbaye de Jouarre (VIIè). La description laissée par Grégoire de Tours de la basilique Saint Martin de Tours vers 472, fait regretter la disparition de cet édifice qui fut l'une des plus belles églises mérovingiennes.

Bordeaux : église saint Seurin : la crypte
Bordeaux : église saint Seurin : la crypte
Grenoble : l’église saint Laurent
Grenoble : l’église saint Laurent
Jouarre : la crypte de l’abbaye
Jouarre : la crypte de l’abbaye

Le clocher constitue la principale originalité des églises mérovingiennes, comme à Saint Martin de Tours, Saint Etienne de Paris, Saint Germain de Brioude.

Abbatiale de Noirmoutier en l’île : la crypte mérovingienne d’Hermoutier
Abbatiale de Noirmoutier en l’île : la crypte mérovingienne d’Hermoutier

1.2.1.2. Baptistères

Les baptistères indépendants sont établis très tôt en Gaule, témoignant de l’importance de l’influence orientale : Aix en Provence, Riez (650) et Fréjus (636), Marseille, Vénasque sont bâtis sur plan octogonal et couverts d'une coupole sur piliers. Le plan carré est transformé en octogone par adjonction de quatre niches. Le baptistère de Riez, dans les Alpes-de-Haute-Provence, rappelle celui de Saint-Georges d'Esrah en Syrie.

Riez, Alpes de Haute Provence : le Baptistère
Riez, Alpes de Haute Provence : le Baptistère
Riez, Alpes de Haute Provence : le Baptistère. Coupole centrale
Riez, Alpes de Haute Provence : le Baptistère. Coupole centrale
Venasque, Vaucluse : l’église et le baptistère
Venasque, Vaucluse : l’église et le baptistère
Fréjus : le baptistère mérovingien. L’intérieur
Fréjus : le baptistère mérovingien. L’intérieur

Le baptistère saint Jean de Poitiers (VIè) a la forme d'un carré flanqué de trois absidioles. C’est un édifice antique remanié ayant subi nombre de transformations, mais qui conserve dans sa décoration (chapiteaux de marbre) un caractère mérovingien.

Poitiers : le baptistère Saint Jean
Poitiers : le baptistère Saint Jean
Poitiers : le baptistère Saint Jean
Poitiers : le baptistère Saint Jean
Poitiers : le baptistère Saint Jean. Schéma
Poitiers : le baptistère Saint Jean. Schéma

1.2.2. Peinture et sculpture

Abbatiale saint Pierre de Vienne : sarcophage de saint Léonien, VIè
Abbatiale saint Pierre de Vienne : sarcophage de saint Léonien, VIè

La sculpture monumentale renonce au réalisme de l'art antique, perd du relief et produit des oeuvres stylisées. L’enluminure mérovingienne se distingue des styles irlandais, anglais et italiens par deux particularités : l'absence de la représentation antique des évangélistes et la préférence pour les ouvrages chrétiens, comme ceux des Pères de l'Eglise. L'enluminure mérovingienne, dans laquelle on trouve beaucoup de portraits de personnage, d'anges ou de croix, est plus proche de la figuration italienne que de l'ornementation insulaire, dont les entrelacs, nattes, spirales sont représentés, mais la plupart du temps de manière grossière.

Page de l’Evangile d’Echternach (ou de Willibrord) : folio 18v. Vers 698. Paris Bibliothèque Nationale
Page de l’Evangile d’Echternach (ou de Willibrord) : folio 18v. Vers 698. Paris Bibliothèque Nationale
Page de l’Evangile d’Echternach (ou de Willibrord) : le symbole de Marc, folio 75v. Vers 698. Paris Bibliothèque Nationale
Page de l’Evangile d’Echternach (ou de Willibrord) : le symbole de Marc, folio 75v. Vers 698. Paris Bibliothèque Nationale
Page du lectionnaire de Luxeuil. VIIè- Manuscrit latin 9427, folio 144. Paris ; Bibliothèque Nationale
Page du lectionnaire de Luxeuil. VIIè- Manuscrit latin 9427, folio 144. Paris ; Bibliothèque Nationale
Folio du livre de Lindisfarne en Northumbrie (parfois appelé Evangéliaire de Durham ou de Cuthbert). Folio 94. Vers 698. Londres, British Museum
Folio du livre de Lindisfarne en Northumbrie (parfois appelé Evangéliaire de Durham ou de Cuthbert). Folio 94. Vers 698. Londres, British Museum
Folio du livre de Durrow représentant saint Matthieu. VIIè. Dublin, Trinity College, MS 57
Folio du livre de Durrow représentant saint Matthieu. VIIè. Dublin, Trinity College, MS 57

Les principales œuvres enluminées sont le Lectionnaire de Luxeuil, (VIIe siècle), les « Moralia in Job de Grégoire le Grand »(700-720), le « Heptateuque (Quaestiones in Heptateuchon) de saint Augustin » (mi VIIIè), le « Sacramentaire gélasien de Chelles » (entre 628 et 731), le Livre de Durrow (Dublin, Librairie du Trinity College), l’« Evangéliaire de Lindisfarne » (parfois appelé Evangéliaire de Durham ou de Cuthbert, vers 698, Londres, British Muséum), Les « évangiles d'Echternach » (appelés Evangiles de Willibrord, Evangéliaire d'Echternach, Paris, Bibliothèque nationale)…

Page des « Moralia in Job » de Grégoire le Grand avec minuscule de Luxeuil. Vers 700-720. 273 x 215 mm, Dijon, bibliothèque
Page des « Moralia in Job » de Grégoire le Grand avec minuscule de Luxeuil. Vers 700-720. 273 x 215 mm, Dijon, bibliothèque
Sacramentaire gélasien, probablement de Chelles : vers 700. C’est la première apparition des lettrines, souvent composées d’animaux : ainsi la lettre N est formée de poissons. Rome, bibliothèque Vaticane
Sacramentaire gélasien, probablement de Chelles : vers 700. C’est la première apparition des lettrines, souvent composées d’animaux : ainsi la lettre N est formée de poissons. Rome, bibliothèque Vaticane
Folio du livre de Durrow, Irlande. Début de l’évangile de saint Marc. VIIè. Dublin, Trinity College, MS 57
Folio du livre de Durrow, Irlande. Début de l’évangile de saint Marc. VIIè. Dublin, Trinity College, MS 57
Folio du livre de Lindisfarne en Northumbrie (parfois appelé Evangéliaire de Durham ou de Cuthbert). Folio 26v. Vers 698. Londres, British Museum
Folio du livre de Lindisfarne en Northumbrie (parfois appelé Evangéliaire de Durham ou de Cuthbert). Folio 26v. Vers 698. Londres, British Museum
Page de l’Evangile d’Echternach (ou de Willibrord) : début de l’évangile de Saint Jean. Folio 177. Vers 698. Paris Bibliothèque Nationale
Page de l’Evangile d’Echternach (ou de Willibrord) : début de l’évangile de Saint Jean. Folio 177. Vers 698. Paris Bibliothèque Nationale

Le vitrail fait ses débuts en Gaule. La mosaïque se perpètre.

1.2.3. Orfèvrerie

L'orfèvrerie tient une place très importante dans l’art mérovingien : il existe deux procédés :

  • Le cloisonné, avec le trésor de Tournai (Tombe de Childéric 481), les tombes des Champs Catalauniques (451), le trésor de Gourdon (527), le trésor de saint Denis (tombe de la reine Arnegonde, Croix de Saint Eloi, navette de saint Eloi), Trésor de Chelles…
  • Trésor de Childéric (426-481) trouvé à Tournai en 1653. Pommeau d’épée. Or et grenat. Paris, bibliothèque Nationale
    Trésor de Childéric (426-481) trouvé à Tournai en 1653. Pommeau d’épée. Or et grenat. Paris, bibliothèque Nationale
    Trésor de Childéric (426-481) trouvé à Tournai en 1653. Fibule. Or et cloisonné. Paris, bibliothèque Nationale
    Trésor de Childéric (426-481) trouvé à Tournai en 1653. Fibule. Or et cloisonné. Paris, bibliothèque Nationale
    Fragment de la croix de saint Eloi (Eligius) ornant le grand autel de l’abbaye de Saint Denis, unique reliquat de sa destruction lors de la Révolution. Or cloisonné et pierres précieuses.  Vers 650. Paris, Cabinet des médailles
    Fragment de la croix de saint Eloi (Eligius) ornant le grand autel de l’abbaye de Saint Denis, unique reliquat de sa destruction lors de la Révolution. Or cloisonné et pierres précieuses. Vers 650. Paris, Cabinet des médailles
    Plaque-boucle et contre-plaque de ceinture provenant de la parure de la reine Arnegonde (v. 515-573), femme de Clotaire Ier (511-561), roi des Francs. Argent, pâte de verre et grenats, vers 570. Découverte dans une tombe de Saint-Denis en 1959
    Plaque-boucle et contre-plaque de ceinture provenant de la parure de la reine Arnegonde (v. 515-573), femme de Clotaire Ier (511-561), roi des Francs. Argent, pâte de verre et grenats, vers 570. Découverte dans une tombe de Saint-Denis en 1959
    Fibule ronde de la reine Arnegonde, épouse de Clotaire. Or cloisonné de grenats, 565-570. Paris, Musée du Louvre
    Fibule ronde de la reine Arnegonde, épouse de Clotaire. Or cloisonné de grenats, 565-570. Paris, Musée du Louvre
    Trésor de Gourdon (Saône-et-Loire) : calice. Or, turquoise et grenats cloisonnés. Hauteur : 7,5 cm ; diamètre : 4,5 cm ; profondeur : 4,9 cm. Fin du Vè - début du VIè. Paris, Bibliothèque Nationale de France, Cabinet des Médailles
    Trésor de Gourdon (Saône-et-Loire) : calice. Or, turquoise et grenats cloisonnés. Hauteur : 7,5 cm ; diamètre : 4,5 cm ; profondeur : 4,9 cm. Fin du Vè - début du VIè. Paris, Bibliothèque Nationale de France, Cabinet des Médailles
    Trésor de Gourdon (Saône-et-Loire) : patène. Or, turquoise et grenats cloisonnés. Longueur : 12,5 cm ; largeur : 12,5 cm ; profondeur : 1,6cm. Fin du Vè - début du VIè. Paris, Bibliothèque Nationale de France, Cabinet des Médailles
    Trésor de Gourdon (Saône-et-Loire) : patène. Or, turquoise et grenats cloisonnés. Longueur : 12,5 cm ; largeur : 12,5 cm ; profondeur : 1,6cm. Fin du Vè - début du VIè. Paris, Bibliothèque Nationale de France, Cabinet des Médailles
    Reproduction du calice de saint Eloi. Trésor de l’abbaye de Chelles fondée en 658 par la reine Bathilde. Le calice, d’or pur, mesurait environ un pied de haut et contenait environ une hémine, ou seize onces (un 1/2 litre). Le décor est formé d’émaux et de pierres incrustées
    Reproduction du calice de saint Eloi. Trésor de l'abbaye de Chelles fondée en 658 par la reine Bathilde. Le calice, d'or pur, mesurait environ un pied de haut et contenait environ une hémine, ou seize onces (un 1/2 litre). Le décor est formé d'émaux et de pierres incrustées
    Trésor de l’abbaye de Chelles : fibule d’or de la reine Bathilde. Or massif, longueur 1,5 cm, vers 680. Chelles, Musée Alfred Bonno
    Trésor de l'abbaye de Chelles : fibule d'or de la reine Bathilde. Or massif, longueur 1,5 cm, vers 680. Chelles, Musée Alfred Bonno
  • Le repoussé avec la châsse de Saint Bonnet Avalouze en Corrèze, la châsse de Saint Benoît sur Loire (VII-VIIIé), la crosse mérovingienne de Saint Germain, premier abbé de Moutier Grandval…
Crosse de Saint Germain, abbé de Moutier Grandval (Jura suisse), assassiné en 666 sur ordre du duc d’Alsace Etichon . Or repoussé. Delémont, musée jurassien d’art et d’histoire
Crosse de Saint Germain, abbé de Moutier Grandval (Jura suisse), assassiné en 666 sur ordre du duc d’Alsace Etichon . Or repoussé. Delémont, musée jurassien d’art et d’histoire
Abbaye de Fleury : Châsse de Mumma (VIIè). Frise de six apôtres traitée au repoussé sur une tôle de cuivre appliqué à un reliquaire de bois
Abbaye de Fleury : Châsse de Mumma (VIIè). Frise de six apôtres traitée au repoussé sur une tôle de cuivre appliqué à un reliquaire de bois
Châsse de Saint Bonnet Avalouze en Corrèze. Repoussé
Châsse de Saint Bonnet Avalouze en Corrèze. Repoussé

Les grands orfèvres ont pour nom Saint Eloi (588-665), Ello, Dadillo.

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